Hier, lundi, Georges Moustaki a été inhumé à Paris, au cimetière du Père Lachaise, où il ira
rejoindre d’autres légendes de la musique et de la poésie françaises. Car, il était un poète de la chanson, un grand, avec Brel, Brassens, Piaf, Ferrat, Montand, Barbara, Ferré ou Gainsbourg...
Moustaki nous a offert une oeuvre monumentale d’humanisme, de courage, de finesse,
d’intelligence et d’engagement.
Son oeuvre, c’est l’émotion et le raffinement de l’esprit faits poésie et les nouvelles générations et celles à venir sauront, d’une
manière ou d’une autre, découvrir, elles aussi, tous ces trésors...
Toutes les chansons de Moustaki, je les ai aimées, toutes: "Ma liberté", "Et pourtant dans le monde", "La longue dame brune", "Ma solitude", "La philosophie", "Il y avait un jardin", "Le temps de vivre", "Le métèque",..."Sans la nommer" sera pour toujours ma préférée:« C’est
elle que l’on matraque, que l’on poursuit que l’on traque. Qui souffre et se met
en grève. C’est elle qu’on emprisonne, qu’on trahit, qu’on abandonne. Qui nous
donne envie de vivre, qui donne envie de la suivre jusqu’au bout, jusqu’au
bout» .
Mais aujourd'hui, c'est une autre qui me vient à l'esprit, puisqu'"Il est trop tard".
Un grand poète s'en est allé mais ses chansons et sa philosophie de vie resteront toujours avec nous.
Adieu Monsieur Moustaki... et merci encore...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire