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......... Les paroles de la chanson: Qu'elle était belle à tes côtés Sur ta voix son corps dansait Dans ses dentelles virevoltait L'effet d'un corps de balletPapa, tu as pris la route sans dire adieuPapa, tu as laissé son corps je t'en veux Refrain :Ca fait mal de vivre sans toi Elle a mal et tu ne t'imagines même pas Comme ça fait mal de rire sans toi Elle a mal et tu ne reviendras pas Qu'elle était belle à tes côtés Dans son regard je voyaisQue tu faisais d'elle un conte de fées Sur toi elle se reposaitPapa, tu as pris la route sans dire adieuPapa, tu as laissé son coeur je t'en veux (au refrain) Oh non Papa, tu ne reviendras pas (au refrain) Son sourire appelle au secours, il est sans amour (au refrain) Toi tu ne reviendras pas, et toi tu ne reviendras pasOh papa, et toi tu ne reviendras pasEt toi tu ne reviendras pas, Papa
On s'attache… et on ne l'abandonne pas le beau Christophe !
Originaire du charmant village de Carpentras, son père, musicien et
amateur de jazz, lui transmet très tôt son goût pour la musique.
Sportif de haut niveau, il se voit stoppé dans son élan par une
maladie chronique. Il profite de cette immobilisation forcée pour
apprendre la guitare acoustique, l'harmonica et écouter en boucle
celui qui deviendra sa source d'inspiration: Stevie Wonder.
Dès 18 ans, Christophe assure environ 200 concerts par an, dans un
style reggae, soul et blues… Malgré ces compétences, il connaît la
galère habituelle des jeunes musiciens, se produisant dans les bals,
les galas et les bars, ainsi qu'en faisant la manche dans les rues puis
en première partie d'artistes comme Cher, Seal ou Jonatan Cerrada.
Le projet du Roi Soleil le séduit par sa démarche originale. À
l'opposé du chanteur classique de comédie musicale, Christophe est
une évidence dans le rôle de Monsieur. Sa sensibilité, son humour et
sa fantaisie transcendent un public en liesse. Aujourd'hui,
l'aventure en solitaire lui tend les bras. Ses compositions lucides,
complices et pleines de compassion rendent ce beau gosse follement…
attachant ! ........................
L'imparfait de l'indicatif est un temps du passé. Il permet
d'indiquer une action dans le passé qui a duré dans le temps et qui se
poursuit peut-être toujours. C'est le temps idéal pour la description ou pour exprimer des habitudes dans le passé.
Ex: Le dimanche, nous mangions chez mes parents.
Disons-le tout de suite, tous les verbes ont la même terminaison à
l'imparfait sans exception : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient. Mais certains verbes ont une modification dans le radical au moment de la
conjugaison à l'imparfait. Le moyen le plus simple de s'en rappeler est
de partir du présent de l'indicatif de la 1re personne du pluriel et de retirer la terminaison -ons. Une seule exception : le verbe être (j'étais, tu étais...).